Plusieurs termes sont utilisés pour parler de partage et d’appropriation des connaissances : transfert, valorisation, partage, diffusion, utilisation, etc.
L’expression partage et appropriation des connaissances a été retenue pour ce dossier thématique.
Les partenaires qui œuvrent en petite enfance réalisent de nombreuses actions et développent des pratiques inspirantes à travers tout le Québec. Il est important de partager et d’encourager l’appropriation et l’utilisation des connaissances issues de ces initiatives. En effet, cela permet :
L’outil de réflexion Pourquoi partager ses réalisations et ses apprentissages? donne des pistes de réflexion sur l’intérêt d’entreprendre une stratégie de partage et d’appropriation des connaissances en fonction des objectifs poursuivis (Pourquoi?), du public cible (Pour qui?), des moyens à utiliser (Comment) et des effets attendus (Et après?)
Un réflexe courant est d’associer le partage des connaissances à la simple diffusion de celles-ci, souvent grâce à un plan de communication. Pourtant, le partage de connaissances ne doit pas se limiter à cela. Il doit viser l’appropriation et ultimement l’utilisation de ces connaissances. Pour ce faire, il est nécessaire de mettre en place des stratégies adaptées aux personnes visées. Les moyens utilisés peuvent être très variées : ateliers de travail, récit de pratique, rédaction d’une fiche coup de cœur, document de vulgarisation, formation, et plus encore.
Certaines conditions favorisent l’atteinte des objectifs visés par la stratégie de partage et d’appropriation des connaissances. Il faut veiller à les réunir et y être attentif tout au long de la stratégie, car il s’agit de leviers qui augmentent les chances d’atteindre l’appropriation des connaissances.
Présentation du transfert et de l'utilisation des connaissances, SACO - Stratégies de transfert et d'utilisation des connaissances.
Animer un processus de transfert des connaissances : bilan des connaissances et outil d’animation, Institut nationale de santé publique du Québec (INSPQ)
S’investir en transfert de connaissances, Québec en Forme